La France continentale, notamment la côte atlantique, reste vulnérable à des tsunamis transatlantiques, comme celui de 1755 suite au séisme de Lisbonne.
Des cartes prédictives de submersion côtière ont été établies pour identifier les zones à risque et orienter l’aménagement urbain, notamment autour de l’aéroport.
Mayotte est exposée à un risque tsunami lié à la crise sismo‑volcanique débutée en 2018, incluant un volcan sous‑marin détecté à 50 km à l’est.
Un programme de ‘seismologie citoyenne’ encourage la population à signaler les secousses, renforçant l’échange entre communautés locales et scientifiques.
Le littoral de l’Arc Méditerranéen peut être confronté à des tsunamis provoqués par des séismes majeurs survenus au large des côtes françaises, italiennes et du Maghreb. Les plages, les ports et les zones urbanisées les plus proches de la mer peuvent alors être impactés.
Des modélisations réalisées par le BRGM montrent qu’un tsunami issu d’un glissement ou effondrement sous‑marin pourrait atteindre le littoral en moins d’une heure.
Un réseau instrumenté (sismographes, marégraphes) permet une détection en continu, alimentant le Centre d’Alerte pour enclencher des plans ORSEC si besoin.
Les habitants sont encouragés à repérer les sites refuges et les itinéraires vers les hauteurs, identifiés lors de campagnes d’information post‑2019.