Les propriétaires et les bailleurs dans les communes vendéennes classées en zone 2 ont l’obligation d’informer les acquéreurs ou locataires du risque radon existant, notamment par le processus IAL prévu par la réglementation.
Pour réduire l’exposition au radon dans les logements de Vendée, des actions comme l’étanchéification des dalles, l’amélioration de la ventilation ou la mise en dépression du vide sanitaire sont souvent recommandées.
Certains établissements recevant du public situés dans des communes de Haute‑Vienne classées en zone 3 doivent réaliser des mesurages radon périodiques conformément à la réglementation en vigueur sur les ERP.
Les habitants des communes classées en zone 3 en Corrèze doivent être informés du potentiel radon dans l’annonce des ventes ou locations immobilières, selon les obligations du dossier d’information des acquéreurs et locataires (IAL).
Le sous-sol granitique du Finistère favorise naturellement l’exhalation du radon depuis la roche vers l’air intérieur, surtout dans les bâtiments en contact direct avec le sol, comme les sous-sols ou rez-de-chaussée.
En France, certaines zones géographiques sont naturellement plus exposées au radon, comme la Bretagne, la Corse ou le Massif central. Des cartes sont disponibles pour connaître le niveau de potentiel radon dans chaque commune. Cela permet aux habitants d’adopter les bons gestes en fonction de leur exposition.
La carte fournie par l’IRSN distingue trois zones selon le potentiel radon géologique : faibles en zone 1, faibles avec facteurs géologiques particuliers en zone 2, et significatifs en zone 3 pour le Grand Est.
Dans les communes corréziennes classées en zone 3, les établissements recevant du public doivent établir un mesurage du radon et renouveler ces mesures périodiquement si les résultats dépassent les seuils réglementaires.