FranceInondation

À l’ouest de Lyon, dans des communes comme Tassin‑la‑Demi-Lune, le plan de prévention rappelle que les champs d’expansion des crues doivent rester dégagés pour absorber les eaux lors d’événements extrêmes.

À Provins ou Montereau, les cartes d’aléas montrent des zones rouges totalement interdites à la construction et des zones bleues soumises à prescriptions en cas de projet immobilier.

Dans la vallée de la Charente, à Bassac ou Vibrac, les zones classées inondables couvrent des zones agricoles et des espaces humides sensibles, ce qui impose des servitudes d’urbanisme précisées dans les PPRI.

À Alès, plus de 18 000 habitants se trouvent en zone inondable, en particulier le long du Gardon, ce qui rend essentielle la connaissance des repères de crue installés dans la commune.

À Vauxaillon, des documents locaux rappellent aux habitants l’importance de disposer d’un kit d’urgence et d’avoir planifié un lieu sûr à rejoindre si les eaux montent brusquement.

À Luçon, la proximité du bassin du Lay expose la commune à des risques de submersion marine associée, surtout lors de coïncidence entre grandes marées et tempêtes, selon les documents officiels.

Selon les études de vulnérabilité, une crue d’ampleur équivalente à celle de 1910 pourrait inonder jusqu’à 350 000 foyers et provoquer des perturbations prolongées des réseaux d’électricité, transports et assainissement.

La commune d’Aigues‑Mortes, positionnée dans le bassin du Vidourle, concentre plus de 8 300 habitants en zone inondable, ce qui rend impératif l’usage de barrières de protection et de plan communal de sauvegarde.