Bien que peu médiatisé, le risque tsunami en Guyane fait partie des contraintes prises en compte dans les projets d’aménagement côtiers.
ThinkHazard évalue le risque tsunami comme « moyen », avec plus de 10 % de chance d’un événement endommagant dans les 50 prochaines années.
Face aux incertitudes, la recherche scientifique alimente les politiques publiques et invite à adapter constructions, urbanisme et plans d’évacuation aux risques reconnus.
L'île de La Réunion, située dans l'océan Indien, est exposée au risque de tsunami en raison de sa position géographique. Des mesures de prévention, telles que la surveillance sismique et la mise en place de plans d'évacuation, sont prises pour réduire les conséquences potentielles de ce risque naturel.
Le littoral de l’Arc Méditerranéen peut être confronté à des tsunamis provoqués par des séismes majeurs survenus au large des côtes françaises, italiennes et du Maghreb. Les plages, les ports et les zones urbanisées les plus proches de la mer peuvent alors être impactés.
La faible altitude de la côte guyanaise augmente la vulnérabilité : tout tsunami, même modéré, pourrait pénertrer à plusieurs centaines de mètres à l’intérieur.
La France continentale, notamment la côte atlantique, reste vulnérable à des tsunamis transatlantiques, comme celui de 1755 suite au séisme de Lisbonne.
Des exercices ponctuels se tiennent dans le cadre régional CARIBE WAVE ou avec les secours pour valider l’efficacité des procédures.