Les habitants situés à proximité des établissements tels que McBride à Rosporden ou EDF‑CETAC à Dirinon sont concernés par des procédures d’alerte structurées, relayées via sirènes, affichage communal et médias locaux selon les plans PPI.
La commune de Saint‑Priest‑Taurion accueille un site Seveso seuil haut exploitant des produits chimiques stockés sur place ; ce statut renforce l’importance de plans d’intervention planifiés au niveau communal et préfectoral.
Les industries chimique, logistique ou de traitement des déchets implantées à Lagnieu, Blyes ou Balan manipulent des substances inflammables, toxiques ou corrosives, susceptibles de provoquer des effets thermiques, toxiques ou de surpression en cas de fuite ou explosion.
L’Yonne compte onze sites classés Seveso, dont six sites dits « Seveso seuil haut » répartis dans des communes comme Héry, Sens ou Saint‑Julien‑du‑Sault, impliquant une vigilance renforcée sur ces zones industrielles.
Les exercices de simulation de crise mobilisent les mairies, services départementaux et industriels à Saint‑Vulbas, Balan ou Lagnieu pour tester les plans de secours et préparer la population face aux scénarios d’accident technologique.
Le département compte quinze sites Seveso, répartis entre seuil haut et seuil bas ; des communes comme Chalon‑sur‑Saône (Bioxal, Azelis), Gueugnon (Aperam) et Le Creusot accueillent plusieurs établissements soumis aux plans PPRT.
À Marseille et ses abords industriels, des commissions locales de suivi (anciennement CLIC puis CSS) rassemblent élus, riverains et représentants d’État pour promouvoir le dialogue autour des activités industrielles à risque.
Des supports pédagogiques et exercices de sécurité sont diffusés auprès des écoles et entreprises autour de Fos‑sur‑Mer et Martigues pour sensibiliser dès le plus jeune âge à la prévention des accidents industriels.