À Trois‑Rivières, la proximité de failles sismiques connues justifie l’importance de se préparer à de possibles secousses en connaissant les bons gestes à adopter.
Les séismes se produisent partout dans le monde, mais leurs conséquences varient selon la densité de population, la qualité des bâtiments et la préparation locale. Même un séisme modéré peut provoquer des dégâts importants s’il survient dans une zone mal préparée.
Après un séisme principal, des répliques peuvent se produire pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours. Elles sont parfois plus fortes que la première secousse et peuvent aggraver les dégâts. C’est pourquoi il est important de rester vigilant même après le retour au calme.
Dans les zones à risque, des écoles et collectivités organisent des exercices de simulation pour apprendre aux habitants les bons gestes en cas de séisme. Ces entraînements aident à réagir plus vite le jour où un vrai tremblement de terre se produit.
À Basse‑Terre, les capteurs sismiques placés autour du volcan enregistrent de nombreux petits séismes chaque année, ce qui rappelle que le sol bouge régulièrement, même sans secousses ressenties.
Capesterre‑Belle‑Eau est située dans une zone sismique où il est recommandé de fixer les meubles et objets lourds pour réduire les risques de blessures en cas de tremblement de terre.
À Sainte‑Rose, les sols meubles ou pentus peuvent accentuer les effets d’un séisme, notamment en facilitant les petits glissements de terrain ou les éboulements.
À Saint‑Claude, les écoles peuvent organiser des exercices qui permettent aux enfants d’apprendre à se protéger efficacement si une secousse survient pendant les cours.