Des exercices ponctuels se tiennent dans le cadre régional CARIBE WAVE ou avec les secours pour valider l’efficacité des procédures.
Un plan familial simple – points hauts repérés, sac d’urgence prêt, consignes connues – aide les familles à réagir efficacement.
En cas d’alerte tsunami, la collectivité peut déclencher des sirènes, des messages via FR‑Alert, et informer via les médias locaux.
La présence de signalétique d’évacuation vers des hauteurs apparaît dans certaines zones côtières, sans être encore entièrement homogène.
Des initiatives comme CARIBE WAVE impliquent parfois Saint‑Barthélemy pour tester ses systèmes d’alerte et les capacités de coordination locale.
Les zones basses proches du littoral et les plages sont les plus exposées. Repérer en amont les itinéraires vers les hauteurs peut faire gagner un temps précieux.
Les séismes dont la magnitude dépasse 8,7 comme celui du Japon du 11 mars 2011 et celui de Sumatra du 26 décembre 2004 (Mw 9,2) induisent des tsunamis majeurs qui provoquent des inondations le long des côtes de tout le bassin océanique concerné.
Un séisme ressenti, la mer qui se retire ou un grondement inhabituel doivent immédiatement inciter à se réfugier sur un point haut.