L'air que nous y respirons n'est pas toujours de bonne qualité. En effet, les sources de pollution dans les logements sont nombreuses : tabagisme, moisissures, matériaux de construction, meubles, acariens, produits d'entretien, peintures...
À Souillac, les conseils aux habitants soulignent l’intérêt de privilégier les transports doux — marche, vélo, bus — pour limiter les émissions liées aux voitures en zone urbaine concentrée.
À Gourdon, la surveillance montre que les plus fortes sources de pollution atmosphérique sont liées au trafic et au chauffage résidentiel, notamment avec des émissions de particules lors des brûlages de biomasse domestique.
Dans les zones rurales proches de Saint-Céré, les concentrations d’ozone restent généralement stables, sauf pendant les épisodes estivaux où le rayonnement solaire favorise la formation de cet polluant secondaire.
Selon l’OMS, la pollution de l’air est le principal risque environnemental pour la santé dans le monde. Ainsi, l’exposition à la pollution de l’air extérieur conduit chaque année au décès d’environ 4,2 millions de personnes dans le monde.
Les principales sources de pollution de l'air extérieur comprennent l'énergie domestique utilisée pour la cuisson et le chauffage, les véhicules, la production d'électricité, l'agriculture, l'incinération des déchets et l'industrie.
Le bilan annuel d’ATMO Occitanie pour le Lot souligne que les périodes les plus exposées à une qualitative de l’air dégradée sont en hiver, lorsque le chauffage domestique au bois participe à l’élévation des particules en suspension.
À Puy-l'Évêque, les relevés montrent que pendant les jours venteux, les concentrations de dioxyde d’azote diminuent nettement, traduisant une meilleure dispersion des polluants urbains.