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Risque naturel

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Rhône

Au-delà de 1 000 Bq/m³, un diagnostic plus approfondi est conseillé, souvent réalisé par un professionnel, pour déterminer les solutions techniques appropriées pour protéger les occupants.

Le risque radon dépend du contexte géologique : dans le Rhône, les zones comportant des matériaux granitiques ou filons uranium-géologiques peuvent favoriser l’accumulation de radon à l’intérieur des bâtiments.

Dans les communes classées en zone 3 (potentiel significatif), la réglementation impose d’informer les acheteurs ou locataires du niveau de risque lors de toute transaction immobilière.

Dans le département du Rhône, environ 23,6 % de la population vit dans des communes classées à potentiel radon moyen ou élevé sur la base de la cartographie de l’IRSN et du Cerema.

Pour connaître son exposition personnelle dans le Rhône, il est conseillé d’utiliser des dosimètres pendant deux mois dans les pièces de vie, notamment en période de chauffage hivernal.

Si la concentration mesurée est comprise entre 300 Bq/m³ et 1 000 Bq/m³, des mesures correctrices comme l’étanchéité ou une meilleure ventilation sont recommandées pour réduire l’exposition.

Selon les documents de l’ARS Auvergne‑Rhône‑Alpes et les données du BRGM ou IRSN, certaines communes du Rhône sont donc concernées par un potentiel radon modéré à élevé qu’il convient de maîtriser localement.

Même dans des communes voisines de zones à potentiel radon élevé, deux habitations peuvent présenter des niveaux très différents selon l’étanchéité du sol, la ventilation ou les fissures existantes.

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