Avec sa position géographique dans l'océan Atlantique, l'archipel de la Guadeloupe est régulièrement exposé aux cyclones tropicaux. Pour minimiser les risques et assurer la sécurité de tous, il est important d'adopter les bons gestes avant, pendant et après un cyclone. La préparation est la clé de la survie en cas de catastrophe naturelle.
Les cyclones tropicaux ont des saisons spécifiques selon les régions. Dans l’Atlantique Nord, la saison s’étend de juin à novembre, avec un pic d’activité en septembre.
Chaque cyclone porte un prénom tiré d’une liste pré-établie. Si une tempête est particulièrement destructrice, son nom est retiré de la liste et ne sera plus jamais utilisé.
Un cyclone de forte intensité peut générer autant d'énergie en une journée que la consommation électrique mondiale annuelle. Impressionnant, non ?
L'œil du cyclone, au centre, est une zone de calme presque surnaturel où le vent est faible et le ciel parfois dégagé. Mais attention : c’est la zone entourant cet œil, le mur de l'œil, qui est la plus dangereuse avec des vents extrêmes et des pluies torrentielles.
Saint-Martin est exposé chaque année au risque cyclonique, avec Irma qui a été le cyclone le plus dévastateur à frapper l'île en 2017. Les effets de tels phénomènes météorologiques sont destructeurs, mettant en danger la vie des habitants et des visiteurs de l'île. Découvrez comment vous pouvez vous protéger lors de ces événements extrêmes.
Aussi destructeurs soient-ils, les cyclones jouent un rôle dans la régulation climatique. Ils redistribuent la chaleur des océans vers l'atmosphère et participent à équilibrer les températures sur la planète. Une preuve que même les forces les plus redoutables de la nature ont leur place dans l’écosystème !
Saviez-vous qu’un cyclone tropical peut aussi être appelé ouragan ou typhon ? Tout dépend de l’océan où il se développe : Atlantique ou Pacifique Nord-Est (ouragan), Pacifique Nord-Ouest (typhon) ou Océan Indien (cyclone).