Les PPRT incluent également des prescriptions d’urbanisme, telles que l’interdiction de construction dans certaines zones ou des servitudes obligatoires autour des sites à haut risque.
Le risque industriel dans le Jura inclut des dangers d’effets toxiques, thermiques ou mécaniques, liés à une fuite, une explosion ou un incendie sur les sites chimiques ou de stockage.
Le PPRT Ambès Nord couvre des secteurs comme Ambès et Macau, où des sites industriels à hauts risques exigent des règles strictes d’urbanisme, une limitation des nouveaux projets et une obligation d’information des populations locales.
En contexte industriel à Chalon‑sur‑Saône ou Gueugnon, la vigilance sur les émissions polluantes est renforcée via la directive IED/IPPC afin de limiter les effets toxiques, thermiques ou mécaniques en cas d’accident.
Les principes de base incluent la connaissance des risques chimiques ou d’explosion, les consignes d’alerte, l’abandon des lieux et l’établissement d’un refuge adapté, tels qu’énoncés dans les DICRIM communaux à Échirolles ou Saint‑Martin‑d’Hères.
Ce même DDRM recense également le transport de matières dangereuses lié aux industries portuaires et pétrochimiques, soulignant que les axes routiers et maritimes proches des zones industrielles sont considérés comme sensibles pour les communes avoisinantes.
Les Plans de Prévention des Risques Technologiques (PPRT) en vigueur à Mondeville‑Hérouville‑Saint‑Clair, Ouistreham ou Honfleur régulent l’urbanisation et encadrent les constructions à proximité des sites industriels concernés.
La culture du risque industriel en Dordogne inclut la diffusion de brochures, fiches réflexes et informations accessibles en mairie ou sur site internet des communes concernées comme Bergerac et Neuvic.