Les zones montagneuses, volcaniques ou proches des rivières et des littoraux sont particulièrement concernées, notamment pendant les saisons humides ou après des séismes.
Les mouvements de terrain ne concernent pas uniquement les reliefs : les sols argileux, marécageux ou miniers sont aussi vulnérables, même en plaine.
Les études géologiques, la surveillance des sols et la sensibilisation des habitants permettent d’anticiper et de limiter les impacts des mouvements de terrain.
Fissures dans le sol ou les murs, arbres inclinés ou rivières devenant boueuses peuvent indiquer qu’un mouvement de terrain se prépare.
Un glissement de terrain peut transporter des tonnes de roche, de terre et de débris à des vitesses pouvant dépasser 50 km/h, rendant les évacuations urgentes.
Certains mouvements de terrain sont lents et imperceptibles, mais ils peuvent causer des fissures dans les bâtiments et endommager les infrastructures sur le long terme.
De fortes précipitations saturent le sol en eau, réduisant sa cohésion. Des glissements ou des coulées rapides peuvent se produire, emportant tout sur leur passage.
Les mouvements de terrain regroupent des phénomènes comme les glissements de terrain, éboulements, coulées de boue et affaissements. Ils se produisent quand le sol perd sa stabilité, souvent à cause de facteurs naturels ou humains.