Nouvelle-CalédonieMouvement de terrain

Les zones montagneuses, volcaniques ou proches des rivières et des littoraux sont particulièrement concernées, notamment pendant les saisons humides ou après des séismes.

Certains mouvements de terrain sont lents et imperceptibles, mais ils peuvent causer des fissures dans les bâtiments et endommager les infrastructures sur le long terme.

Un glissement de terrain peut transporter des tonnes de roche, de terre et de débris à des vitesses pouvant dépasser 50 km/h, rendant les évacuations urgentes.

Les racines des plantes aident à stabiliser le sol et à limiter l’érosion. Replanter des zones à risque peut réduire considérablement les dangers.

Certains mouvements de terrain sont lents et imperceptibles, mais ils peuvent causer des fissures dans les bâtiments et endommager les infrastructures sur le long terme.

Les mouvements de terrain ne concernent pas uniquement les reliefs : les sols argileux, marécageux ou miniers sont aussi vulnérables, même en plaine.

Les études géologiques, la surveillance des sols et la sensibilisation des habitants permettent d’anticiper et de limiter les impacts des mouvements de terrain.

Les études géologiques, la surveillance des sols et la sensibilisation des habitants permettent d’anticiper et de limiter les impacts des mouvements de terrain.