À Marseille et ses abords industriels, des commissions locales de suivi (anciennement CLIC puis CSS) rassemblent élus, riverains et représentants d’État pour promouvoir le dialogue autour des activités industrielles à risque.
Le DDRM du département identifie la présence de 70 établissements classés Seveso (dont une majorité de seuil haut) dans la zone d’Etang de Berre, ce qui valorise la culture du risque à travers l’accès à l’information via le dossier départemental et les DICRIM communaux.
Un risque industriel majeur est la probabilité d'un événement accidentel se produisant sur un site industriel et entraînant des conséquences immédiates graves pour le personnel, les populations avoisinantes, les biens et l'environnement.
A partir du DDRM, le maire doit réaliser un document d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM) afin d'informer ses administrés et surtout leur présenter les consignes de sauvegarde à appliquer en cas d'accident majeur. Il est à la disposition des habitants dans leur mairie.
Les effets thermiques sont liés à une combustion d’un produit inflammable ou à une explosion.
Un risque industriel majeur est un événement accidentel se produisant sur un site industriel et entraînant des conséquences immédiates graves pour le personnel, les populations avoisinantes, les biens et/ou l'environnement.
Les habilitations à l’information du public en matière de risque industriel font partie des obligations pour les communes concernées, qui doivent aussi intégrer ces informations dans les transactions immobilières via les documents d’information des acquéreurs ou locataires.
En France, les activités susceptibles de provoquer un danger grave pour l’homme et l’environnement sont soumises à autorisation environnementale. C’est le cas des établissements Seveso.