À Le Moule, des pare‑feux préventifs sont recommandés le long des zones agricoles en limite de zones boisées, afin de ralentir la progression des feux en saison sèche.
À Morne‑à‑l’Eau, les experts soulignent que des zones de friche ou de haies sèches sont particulièrement vulnérables en période sèche, entraînant des pertes de biodiversité et des altérations du sol après feu.
Réalisez vos travaux loin de la pelouse et des herbes sèches et prévoyez un extincteur à portée de main en cas de départ de feu.
En France, 9 feux sur 10 sont d’origine humaine : en cas de sécheresse, de canicule ou de vent fort, un mégot mal éteint jeté depuis une fenêtre de voiture ou en bord de route, une étincelle dans un champ ou un jardin peut suffire à dévaster des hectares de forêt et de végétation en quelques minutes seulement.
Le suivi du risque incendie est assuré par un partenariat entre le SDIS, la DAAF et la préfecture, qui coordonnent la prévention, la réglementation du brûlage agricole et l’alerte des zones les plus exposées.
Lorsque la végétation est asséchée par manque de pluie, un départ de feu devient possible et peut se propager rapidement .
Dans les communes de Sainte‑Rose ou du Moule, les services forestiers mentionnent que certains débroussaillements autour des habitations réduisent significativement les risques de propagation du feu.
À Pointe‑à‑Pitre, les feux sur terrain urbain ou en bordure de zone bâtie peuvent occasionner des fumées toxiques, même si la végétation est limitée, générant une nuisance sanitaire pour les riverains.