Lorsqu’un tel risque est identifié, il est recommandé de mener des études locales incluant bathymétrie et topographie pour les ouvrages et aménagements.
Les systèmes d’alerte incluent les préfectures, les médias, le Centre d’alerte aux tsunamis et éventuellement des sirènes dans les zones côtières.
La Guyane possède un littoral atlantique plat ; bien que les tsunamis y soient rares, le risque n’est pas nul, avec une probabilité estimée moyenne sur 50 ans.
La faible altitude de la côte guyanaise augmente la vulnérabilité : tout tsunami, même modéré, pourrait pénertrer à plusieurs centaines de mètres à l’intérieur.
La France continentale, notamment la côte atlantique, reste vulnérable à des tsunamis transatlantiques, comme celui de 1755 suite au séisme de Lisbonne.
Préparer sa famille consiste à identifier les zones hautes accessibles, prévoir un sac de secours, et suivre les consignes sans délai.
Un tsunami est provoqué par un séisme sous marin ou côtier se produisant à faible profondeur (moins de 50 km de profondeur) et possédant une magnitude d’au moins 6,5.
Une secousse puissante ou prolongée, un bruit sourd et inhabituel ou encore une chute rapide du niveau de la mer ou le retrait rapide de la mer sont des signes naturels avant coureurs de l’arrivée imminente de vagues de tsunami. Dans ce cas, évacuez rapidement les bords de mer sans attendre la diffusion d’une alerte officielle !